emmeute

lors des emmeute de cette annee la BSPP ne pouvait pas couvrir toutes les interventions qui leurs sont tombees sur les bras ils ont donc du faire appel a des SPV explication du general cmmandant la BSPP


"Construire un partenariat entre civils et militaires" Gl Périco, commandant la BSPP


Lors des récents événements dans les banlieues, des sapeurs-pompiers civils ont renforcé les effectifs de la Brigade. Le général Périco parle de cette coopération réussie et d’autres formes de rapprochement. Entretien.

Propos recueillis par Pascal de Peyrelongue Le Sapeur-Pompier Magazine 977 Mars 2006
Le SP mag : Mon général, les événements qui se sont déroulés dans les banlieues des villes françaises se sont traduits à Paris par une coopération étroite entre sapeurs-pompiers civils des Sdis et sapeurs-pompiers militaires de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris. Comment s’est passée cette collaboration ?

Général Périco : A Paris et dans les départements limitrophes dont la BSPP assure le secours à personnes, les événements ont été particulièrement durs. Les sapeurs-pompiers de Paris ont eu une activité opérationnelle intense et exceptionnellement longue, au point qu’il fallait renforcer les effectifs. C’est pourquoi j’ai demandé à plusieurs Sdis la possibilité d’envoyer des renforts. J’insiste sur le fait que la collaboration entre les sapeurs-pompiers s’est parfaitement déroulée, tant du point de vue opérationnel qu’humain.

C’est la première fois que les sapeurs-pompiers civils viennent aider leurs collègues parisiens. Est-ce une expérience qui pourrait être renouvelée, même dans le cadre de situations moins difficiles ?

Tout à fait, on pourrait également imaginer l’inverse. A savoir que des sapeurs-pompiers de Paris aillent renforcer les effectifs des Sdis.

Depuis quelques années, les relations entre militaires et civils s’améliorent. Est-ce la fin de la « guerre froide » ?

Je reconnais que les deux mondes avaient tendance à s’ignorer, voire même à s’opposer. A qui la faute ? aux individus ? à l’histoire ? La BSPP, par méfiance ou incompréhension, s’est peut-être un peu trop enfermée sur elle-même. Elle n’est pas seule détentrice de la vérité. Pour autant, nous revendiquons un niveau d’excellence, s’engager à la BSPP est pour tout jeune qui souhaite devenir sapeur-pompier la garantie d’avoir une expérience unique en termes de formation et d’activité opérationnelle. Je rappelle que si les sapeurs-pompiers militaires ne représentent que 3 % de la « population » des pompiers en France, nous réalisons 12 % des interventions. C’est pour le moins important et la garantie pour toute nouvelle recrue de développer et d’améliorer ses compétences sur le terrain. Ce qui me guide depuis que j’ai pris le commandement de la Brigade, c’est de construire entre civils et militaires un partenariat gagnant / gagnant. Nous faisons le même métier, nous pleurons les mêmes décédés en service commandé, nous soutenons les mêmes veuves et aidons les mêmes orphelins. Nous avons des choses à nous dire.

Est-ce la raison pour laquelle le colonel Amiet, sapeur-pompier professionnel du Sdis 95, est depuis le 1er juillet 2005 dans vos effectifs ?

En effet, le colonel Amiet occupe les fonctions d’officier de liaison entre la BSPP et les Sdis. Sa mission est de mettre en relation les sapeurs-pompiers civils et militaires dans tous les domaines, technique, formation… il est un facilitateur de contacts.

Est-ce dans cet esprit de collaboration que vous avez lancé des conventions avec les Sdis ?

En effet. Le Sdis de la Vendée a été le premier département à signer cette convention. Celle-ci permet à certains SPV d’intégrer la BSPP dès l’âge de 18 ans et pendant une année sous statut de « volontaire de l’armée de terre ». A la fin de cette année probatoire, il peut souscrire un contrat ferme de 8 ans au terme duquel il peut revenir dans le Sdis signataire de la convention comme sapeur-pompier, le Sdis s’engageant ainsi à favoriser son retour dans les meilleures conditions. Près de 30 Sdis sont aujourd’hui en passe de signer cette convention. Ils ont compris tout l’intérêt qu’ils avaient de récupérer un personnel formé et expérimenté.

N’est-ce pas par difficulté de recrutement depuis la fin de la conscription que vous avez décidé de cette convention ?

Absolument pas. Nous n’avons pas de problème de recrutement aujourd’hui. Cela est notamment dû au fait que nous recrutons sur toute la France et pas seulement sur la région parisienne. 70 % de nos ressources sont issus des départements extérieurs. Cependant la question du recrutement se posera de façon vitale vers 2010 du fait simplement de la pyramide des âges. Le nombre de jeunes hommes et femmes diminuant, nous devons trouver d'autres solutions. Ainsi, je cherche à féminiser les effectifs de la BSPP, l’objectif étant d’avoir un équipier sur trois féminin dans les VSAV. J’ai également revu la question de l’aptitude physique sur des cas très particuliers. Jusqu’à maintenant, certains postulants qui étaient aptes physiquement ne pouvaient pas intégrer la BSPP car ils portaient des lunettes par exemple. Or ces mêmes individus intégraient les associations de sécurité civile et dans ce cadre réalisaient des missions de secours à personnes, les mêmes que celles que nous faisons. J’ai trouvé là qu’il y avait une certaine injustice. Aujourd’hui, environ cinquante sapeurs-pompiers de Paris ne sont pas polyvalents, puisqu’ils n’effectuent que le secours à personnes.

Vous indiquiez que les associations de sécurité civile participaient aux opérations de secours ; sont-elles vos « sapeurs-pompiers volontaires » ?

Oui et non. Il y a quelques années, la BSPP disposait de 53 VSAV ; j’ai fait passer la flotte à 89 VSAV mais ce n’est pas suffisant. C’est pourquoi, depuis une quinzaine d’années, la Protection civile, la Croix-Rouge et tout récemment l’Ordre de Malte viennent renforcer notre dispositif de secours à personnes, notamment aux heures de pointe ou pendant les week-ends. Ce sont les instructeurs de la BSPP qui forment une partie des moniteurs de secourisme. Mais ces associatifs ne participent pas bien sûr aux missions de lutte contre l’incendie. Celles-ci étant spécifiquement sous la responsabilité des sapeurs-pompiers. Je tiens beaucoup à l’existence de cette coopération.

La loi de modernisation de la sécurité civile autorise les communes à créer des réserves communales, qu’en est-il dans la région parisienne ?

Le cas ne s’est pas encore présenté mais sur les 124 communes que la BSPP défend, un maire prendra certainement cette initiative. Nous attendons.

moi jdi vive le copier coller la lol!!!

ba oui mai bon ce texte la ca le merite pas comme quand il y a meme pas un ligne

sa se voit qu'il a fait un copier collé mdr !!!

ba oui mai bon jte dit qu'il y a des fois ca vaut le coup

En moin il y en a qui font des post merci moniteur pour tout les messges et les posts!

moi kan on me demande gentillement je sui sympa ossi

c clair bravo moniteur pr ce texte et jtrouv sa normal pour le copié colé car c bocou tro lon tandi ke d frase d'une ligne sil son pa capable de lé recopié sa ve dir kil on tro du mal tt de mm

ca va pa kom rep ca te ressemble pa

aréte ton sharabia
moi tt ce ke je di jle pens dc voila

laisse tomber et revien sur le sujet

oui dc g 1 kestion a kel age est la retraite ché les BSPP?

ca c une bone kestion

oui mé si c 1 bone kestion tu pouré rep lol

si je repon pa c parce ke je sai pa et moi je prefer rien dire ke dir une connerie

tout a fé daccor ac toi

t daccor mai tu prefere dire une conneri

non miE fo rien dir ke dir d coneri

venan de toi c'est etonan

mé aréte tu commence a etr chiant

merci

derien retournon sur le sujet et posé d kestions svp